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Simple allumage

Le simple allumage consiste à ouvrir et fermer un circuit d'éclairage à partir d'un seul interrupteur.
L'interrupteur maintien sa position contrairement à un bouton poussoir qui ne laisse passer le courant que le
temps de l'impulsion.

RÉGLEMENTATION
La protection d'un circuit d'éclairage se fait via un disjoncteur ou fusible 10 ampères, et le câblage en fils de 1,5
mm² (tableau des sections normalisées).
La présence d'un fil de terre vert/jaune est obligatoire à chaque point d'éclairage, y compris pour le cas de
luminaires ne nécessitant pas son raccordement, les appareils de classe II. Le fil de terre est dans ce cas laissé
en attente dans le boitier de connexion
Pour plus d'informations, se référer à l'article Cicruits d'éclairage, normes et recommandations.

SCHÉMA ÉLECTRIQUE DU SIMPLE ALLUMAGE

RACCORDER PLUSIEURS LAMPES SUR UN CIRCUIT


Pour l'allumage de plusieurs points lumineux, les lampes sont raccordées en parallèle. Cela signifie que chaque
lampe est d'un côté reliée à la sortie de l'interrupteur, et de l'autre au neutre en provenance du disjoncteur ou
porte-fusible.
Il est autorisé d'alimenter jusqu'à 8 lampes par protection, sachant qu'une rampe de spots ne compte que
pour une seule lampe.

QUEL INTERRUPTEUR ?

 Les interrupteurs représentés sont de type simple allumage (SA), soit une entrée et une sortie.
Les interrupteurs de type va et vient (VV) comportent une entrée et deux sorties. L'une et l'autre de ces sorties
sont passantes (contact fermé) à tour de rôle selon la position de l'interrupteur. En utilisant une seule sortie
d'un interrupteur va et vient celui-ci remplira les mêmes fonctions qu'un simple allumage classique.

Certains fabricants ou revendeurs ne proposent d'ailleurs que des interrupteurs va et vient.


COULEUR DES FILS
Seuls le neutre et les liaisons à la terre sont réglementés. Les neutres seront systématiquement câblés en bleu
et les terres en vert/jaune.
La phase bien que non réglementée est généralement de couleur rouge pour des liaisons filaires (sous gaines)
et en marron dans les câbles électriques.

Les liaisons intermédiaires se câbleront aux couleurs de votre choix, à l'exception du bleu et du vert/jaune
réservés aux neutres et à la terre.
Lorsque deux allumages côtoient les mêmes canalisations il est préférable de ne pas utiliser les mêmes
couleurs, à l'exception des phases, neutres et fils de terre.
En voici un exemple avec un double allumage. Les retours de lampes (liaisons interrupteurs / lampes) y sont de
couleurs différentes, ce afin d'en faciliter les repérages et donc les raccordements et la maintenance.

Il est recommandé pour ces mêmes raisons de standardiser les couleurs de fils dans une même installation
électrique. Ainsi, si l'on désigne le rouge comme couleur de phase, faire en sorte que l'ensemble de l'installation
respecte ces mêmes colories.

Allumage va-et-vient
Dernière mise à jour le 07/06/2012 (nouveau schéma et explications complémentaires)  

Le câblage en va-et-vient permet la commande d'un même éclairage depuis deux interrupteurs du même nom,
interrupteurs va-et-vient.
Les interrupteurs sont reliés entre eux par deux fils appelés "navettes", ici représentées en violet. Le courant
électrique chemine par l'une ou l'autre des navettes selon la position des interrupteurs, pour parvenir juqu'aux
lampes. 

SCHÉMA DE CÂBLAGE DU VA-ET-VIENT


La protection des circuits d'éclairage est assurée par un disjoncteur 10A ou 16A, ou fusible 10A, avec un
nombre maximum de 8 lampes par protection. 
Une même protection peut être utilisée pour plusieurs circuits (autres allumages et autres pièces) dès lors que
le nombre de points d'éclairage est respecté.

PRINCIPE DE FONCTIONNEMENT
La phase en sortie du disjoncteur regagne le premier interrupteur va-et-vient, à brancher sur le commun
(borne L).
Le contact d'un tel interrupteur est appelé "contact inversseur". Nous avons deux autres bornes en sortie,
généralement repérées 1 et 2.

Dans l'une de positions de l'interrupteur, la liason se fait entre L et 1, et dans l'autre position entre L et 2. Soit
l'un soit l'autre, jamais les deux en même temps.
Nous relions la borne 1 du premier va-et-vient à la borne 1 du second, la borne 2 du premier inter à la 2 du
second, ce sont les navettes.

Enfin, la sortie du second interrupteur (borne L) est reliée aux lampes.


Pour que les lampes s'allument, les deux va-et-vient doient être dans la même position. Ainsi, que l'on change
la position de l'un ou l'autre, les lampes changeront d'état, allumées ou éteintes.

Normes et recommandations en matière d'éclairage

Pour une commande depuis un seul interrupteur, reportez-vous au schéma du simple allumage.
Pour plus de deux points d'allumage, il faudra utiliser un télé rupteur avec des boutons poussoirs. Voir aussi
le per mutateur, de nos jours peu utilisé.
Allumage par Boutons Poussoirs (télérupteur)
Dernière mise à jour le 26/05/2012 (+ branchement 3 fils)

Le principal atout du télérupteur est qu'il permet l'implantation de nombreux points de commandes (boutons
poussoirs), contrairement aux interrupteurs classiques de type simple allumage ou va-et-vient limitant
respectivement à un ou à deux le nombre de points de commandes (interrupteurs).
Une solution alternative au télérupteur existe pour la commande depuis plus de deux points d'allumage, le
permutateur, mais qui présente des inconvénients notamment au niveau du câblage (liaisons entre les
commandes) et est de fait de moins en moins utilisé, au profit du télérupteur offrant davantage de souplesse.

Comme pour tous dispositifs d'éclairage le nombre de points lumineux est limité à 8 par protection (Circuits
d'éclairage - normes et recommandations) sous disjoncteur 10 ou 16A ou encore fusible 10A, avec des
conducteurs de section 1,5mm² (protections et sections normalisées par circuits).

PRINCIPE DE FONCTIONNEMENT DU TÉLÉRUPTEUR


Un télérupteur est un relais "mémorisant" sa position (contact ouvert ou fermé). La bobine du relais est
alimentée par le biais des boutons poussoir (BP). Chaque fois que la bobine est alimentée (impulsion sur un
bouton poussoir), elle change l'état de son contact qui à son tour permettra l'alimentation des appareils
d'éclairage.

  Impulsion sur l'un des BP : Le contact du télérupteur se ferme, les lampes s'allument
  Nouvelle impulsion sur l'un des BP : Le contact du télérupteur s'ouvre, les lampes s'éteignent
  Nouvelle impulsion sur l'un des BP : Le contact se ferme à nouveau, les lampes s'allument
Tous les boutons poussoirs remplissent la même fonction. Il est dès lors possible d'éteindre et allumer depuis
n'importe quel BP du circuit.
Ainsi par exemple dans une circulation nous pourront placer un bouton poussoir par lieux d'accès.

Un même télérupteur ne peut être employé pour plusieurs allumages différents. Il vous faudra autant de
télérupteurs que de circuits d'éclairage à alimenter (éclairage extérieur, circulation, etc.).

DIFFÉRENCE ENTRE TÉLÉRUPTEURS UNIPOLAIRES ET BIPOLAIRES


Il existe en effet deux familles de télérupteurs. Le télérupteur unipolaire (1 seul pôle) lors de l'extinction des
appareils d'éclairage coupe uniquement la phase, tandis que le télérupteur bipolaire coupe les deux polarités,
la phase et le neutre (2 pôles).
Il s'agit simplement d'une sécurité supplémentaire, les différents éclairages se trouvant totalement isolés de
l'installation lorsqu'ils sont éteints.

Pourquoi dans ce cas ne pas limiter à la vente que le télérupteur bipolaire ? Du fait que les interrupteurs
classiques (simple allumage, va et vient) ne coupent eux aussi que la phase. Cela ne signifie par pour autant
que ces autres modes d'allumage soient réellement dangereux. Il est simplement plus aisé de passer au
bipolaire pour un télérupteur puisque ne nécessitant pas de passage de fils supplémentaires pour son
fonctionnement. Le seul coût de revient supplémentaire se situe au niveau du prix l'appareil (maigre
différence), et un peu de câblage en plus dans le tableau électrique.
Le télérupteur bipolaire sera généralement préféré pour des éclairages en milieux humides, en extérieur
notamment.

SCHÉMAS ÉLECTRIQUES
La disposition des bornes de connexion peuvent différer d'une marque de télérupteur à une autre. Il convient
donc lorsque l'on ne dispose pas de la notice de son matériel d'être davantage attentif aux repères qu'à la
disposition, encore que les reprères peuvent eux aussi quelque-peu différer. En cas de doute le forum de
discussion est là pour vous aider.
Raccordement d'un télérupteur unipolaire
La bobine est matérialisée par les bornes aux repères A1 et A2 du télérupteur, comme sur la grande majorité
des relais électromécaniques comme les contacteurs.
Les boutons poussoirs sont d'une part reliés à la phase, puis en sortie à la borne A1 du télérupteur, de sorte à
ce que chaque pression sur l'un des BP conduira le courant électrique jusqu'à la bobine.

La borne A2 est elle reliée au neutre refermant ainsi le circuit de commande (bobine).
Le circuit puissance (les lampes) chemine depuis la phase en sortie du disjoncteur vers le contact du
télérupteur. La sortie de celui-ci regagne les lampes, elles-mêmes reliées au neutre.

Télérupteur unipolaire en branchement 3 fils


Le schéma précédant est en "branchement 4 fils", du fait que 4 fils extérieurs au tableau électrique sont
nécessaires au fonctionnement, deux fils de commande (boutons poussoirs) et deux pour l'alimentation des
lampes.
Une autre mode de raccordement permet de faire l'économie du fil de phase (rouge), d'où l'intitulé
"branchement 3 fils".

Le principe est simple. Nous envoyons cette fois la phase directement à la borne A1 du télérupteur, en créant
un pont entre cette dernière et la borne 1.
C'est alors non plus la phase qui dessert les BP mais le neutre. Le retour BP regagne alors la borne A2 pour
refermer le circuit commande.
 

Raccordement d'un télérupteur bipolaire


Même principe que précédemment, à la seule différence que le télérupteur comporte deux contacts internes.
Le contact de gauche sera réservé au passage du neutre et celui de droite à la phase.
Le neutre n'est donc plus relié aux lampes directement depuis le disjoncteur mais est à présent lui aussi
commandé par le télérupteur (bornes 1 et 2). La borne A2 de la bobine reste quant à elle reliée au neutre en
sortie du disjoncteur

.
Pour davantage de clareté la liaison du neutre vers la borne A2 du télérupteur est ici reprise au disjoncteur,
hors celle-ci peut être reprise sur la borne 1, elle-même étant reliée au neutre du disjonteur (schéma avec
pontage du neutre).

Schéma développé - télérupteur


bipolaire avec dérivation
Le schéma de gauche donne un exemple de câblage de télérupteur en situation réelle, avec les connexions au
disjoncteur et au télérupteur, raccordement en boite de dérivation et repiquage des lampes en pot de centre
(boitier de connexion au plafond).

A noter que l'emploi d'une boite de dérivation n'est pas obligatoire, ou cette boite peut-être commune à
d'autres circuits distincts

La phase (fil rouge) qui part du tableau vers la boite de dérivation est ici reliée en aval du disjoncteur mais peut
tout aussi bien être prise en tête du télérupteur (repère 3), de même que le pont reliant la sortie de la bobine
du télérupteur (A2) au neutre du disjoncteur peut être réalisé entre A2 et le repère 1 du télérupteur.
L'essentiel est dans les deux cas que phase et neutre soient repris entre le disjoncteur et le télérupteur. Nous
les avons disposés ainsi pour plus de clarté.

Retenez que la norme limite à deux le nombre de fils sur chacun des points de connexion (disjoncteur et
télérupteur), donc si ce même disjoncteur dessert également d'autres éclairages, les fils seront à répartir en
conséquence. S'il venait à vous manquer de la place, passer alors par un bornier, dominos ou bornes rapides
(de type Wago)

Enfin, selon la configuration de notre installation, les lampes et boutons poussoirs peuvent être reliés dans la
boite de dérivation et pas nécessairement repris les uns aux autres comme sur ce schéma.
AVANTAGES DU TÉLÉRUPTEUR

L'allumage par télérupteur est utilisé pour les pièces ou circulations nécessitant plus de 2 points de commande
d'éclairage. Une circulation par définition donne accès à plusieurs pièces différentes et/ou accès divers (escalier,
etc.).

Il est possible d'utiliser des boutons poussoirs pourvus de voyants lumineux permettant de les visualiser dans
l'obscurité sans passage de fils supplémentaires, donc sans avoir à modifier le câblage de l'installation.
Le voyant est simplement raccordé en parallèle du contact du bouton poussoir. Il est alors alimenté en
permanence, à la différence d'un témoin lumineux indiquant d'une lampe est restée allumée (ex: grenier, sous-
sol, ...).

Publication initiale  23-07-2008

Vos questions sur le forum, rubrique "Électricité domestique" Nouveaux schémas


Mise à jour du 16-09-2011 
Refonte du contenu
Allumage par minuterie

Fonctionnement d'une minuterie, schémas électriques de principe et schémas


développés, branchement 3 et 4 fils pour minuteries Hager, Schneider, Theben et
Legrand ...

La minuterie est de la famille des relais temporisés. Son ou ses contacts internes se ferment au moment de la
commande (impulsion sur un bouton poussoir) et pour une durée déterminée, généralement de l’ordre de
quelques minutes. 
De ce fait, contrairement à des modes d’allumages classiques (simples interrupteurs) ou des télérupteurs,
aucune action n’est requise pour permettre l’extinction des appareils d’éclairage. 

Elle permet de fait de réaliser des économies d’énergies, la lumière ne pouvant


rester allumée par simple négligence. La minuterie est principalement utilisée
dans des lieux publics et de passage tels que des cages d’escaliers, parkings, ... 
Il convient d’adapter la durée d’allumage à l’environnement sans négliger le
confort des utilisateurs. Il n’est par exemple pas très agréable de devoir appuyer
à deux ou 3 reprises sur un bouton poussoir pour monter 4 étages les bras
chargés de courses. 
A l’inverse une minuterie présente moins d’intérêt lorsque la durée est largement
surévaluée.

PRINCIPE DE FONCTIONNEMENT
La minuterie est composée d’une bobine pour la partie commande et d’un contact utilisé pour l’alimentation des
appareils (puissance). 
Les boutons poussoirs ont pour rôle d’alimenter brièvement - par impulsion - la bobine de la minuterie,
provoquant ainsi la fermeture de son contact et amorçant le début de la temporisation. 
Un commutateur en façade de l’appareil permet au besoin de forcer l’allumage des lampes desservies,
symbolisée par une ampoule. La position de marche normale est symbolisée par un bouton poussoir.

Branchements 3 et 4 fils
Deux modes de raccordement sont proposés par les constructeurs. Les branchements à 3 ou 4 fils qui
désignent le nombre de conducteurs nécessaires en sortie du tableau (vers boutons poussoir et lampes), mais 4
fils sont toujours nécessaires aux bornes de la minuterie pour le fonctionnement de celle-ci. Sur les schémas de
principe qui suivent il n'est volontairement pas fait état du fonctionnement interne de la minuterie afin d'en
simplifier la lecture.

En branchement 4 fils la phase est envoyée aux boutons poussoirs puis rejoint la bobine elle-même
raccordée à son autre extrémité au neutre.
Deux fils sont nécessaires à la commande (phase et retour BP), et deux autres fils à l’alimentation des lampes
(sortie contact et neutre), soit 4 fils. 

En branchement 3 fils nous obtenons le chemin inverse. La bobine est reliée à la phase et le bouton poussoir
au neutre. Le fonctionnement est identique la bobine étant bien alimentée dans les deux cas. 
Le fil de neutre est désormais commun à l’alimentation de lampes et à la commande par les boutons poussoirs.
La phase n’est par conséquent plus requise à l’extérieur du tableau. 
Nous obtenons ainsi un fil de neutre commun aux deux circuits, le retour du contact de la minuterie pour
l’alimentation des lampes, et le retour de la bobine pour la commande soit 3 fils en sortie du tableau, bien que
pour rappel le neutre est toujours nécessaire aux bornes de la minuterie pour son fonctionnement.

Auparavant les minuteries disposaient d’un second commutateur pour le choix entre un branchement 3 ou 4
fils, reliant soit le neutre soit la phase à la bobine. Les minuteries récentes de certains constructeurs
reconnaissent le mode de raccordement de manière automatique. Les commutateurs ne sont dans ces cas
précis plus de mise. 

SCHÉMAS DE RACCORDEMENT
Les schémas qui suivent reprennent la disposition des connexions et repères utilisés par les constructeurs des
minuteries les plus répandues. Si le modèle recherché ne correspond à aucun de ces schémas vous pouvez
rejoindre le forum de discussion et demander conseil.

Sont représentés sur ces schémas des boites de dérivation. Celles-ci sont optionnelles. Il existe en effet bien de
configurations possibles. Lorsque plusieurs circuits sont desservis par un même disjoncteur ils peuvent être
répartis depuis le tableau directement, au sein des appareillages ou encore depuis une boite de dérivation
regroupant différentes sources d'alimentation (autres éclairages, prises, ..).
Seuls deux lampes et boutons poussoirs sont représentés. D'autres lampes peuvent bien entendu être ajoutées,
reprises les unes aux autres comme ici, dans le tableau ou la boite de dérivation. Il en va de même pour les
boutons poussoirs (BP).
 Branchement minuteries 4 fils

- CONNEXIONS HAGER, THEBEN ET SCHNEIDER (MERLIN GERIN) -

- CONNEXIONS LEGRAND -
 Branchement minuteries 3 fils

- CONNECTIONS HAGER, THEBEN ET SCHNEIDER (MERLIN GERIN) -


- CONNEXIONS LEGRAND -
INFORMATIONS COMPLÉMENTAIRES
Boutons poussoirs
Les boutons poussoirs utilisés peuvent être à voyant pour permettre de les localiser dans l’obscurité. Ces
derniers ne nécessitent pas câblage supplémentaire. Le voyant est intégré et relié de part et d’autre du contact
du bouton. 
Le nombre de boutons poussoirs n’est pas limité.
Préavis d'extinction
Il existe des minuteries avec préavis d'extinction intégré avertissant de l’extinction proche des lampes, soit par
clignotement de celles-ci soit par diminution de l’intensité lumineuse. Les modules de préavis d’extinction
peuvent être installés séparément.
Dans les deux cas, renseignez-vous avant d'acheter sur la compatibilité de la minuterie ou du préavis
d'extinction avec les lampes basse consommation (LED et fluorescentes). Nombreux sont encore les appareils
qui ne supportent que les ampoules à incandescence ou hallogènes.

Les plus évoluées comme la Rex800 Multi de chez Legrand (ref 047 04) offrent en outre bien d'autres
possibilités.

Télérupteur-minuterie
Il existe également des télérupteurs-minuterie qui associent les avantages du télérupteur et de la minuterie. Ils
permettent de commander l’extinction des lampes par une nouvelle impulsion sur un bouton poussoir, ou à
défaut les éteignent automatiquement si le temps de réglage est atteint.

Allumage par détecteur de présence - mouvement


Voir aussi  :  Détecteurs avec commandes de marche forcée, d'arrêts ou temporisées

Les détecteurs de présence aussi appelés détecteurs de mouvement, permettent


l’alimentation automatique d’appareils électriques pour une durée déterminée
(réglable), le plus souvent de l’éclairage et dans des lieux de passage (circulations,
escaliers) ou en extérieur. Il est également fréquent d'en trouver pour des raisons
d'hygiène dans les sanitaires, permettant l'allumage sans contact physique.

Les détecteurs offrent de nombreuses possibilités, comme la commande d’ouverture


d’un portail automatique, prévenir d’une intrusion, etc. Nous n’aborderons dans ce
présent article que les bases de l’utilisation d’un détecteur de présence à 3 fils.
D’autres articles suivront pour des applications plus avancées comme l’ajout de commandes d’arrêt ou de
marche forcée, association d’une horloge, ...

Les détecteurs 3 fils ont pour fonctionner besoin d'une alimentation permanente (phase et neutre). Bien que ce
soit en d’infimes proportions, nous pouvons dès lors affirmer qu'ils consomment de l'énergie électrique en
permanence (lumières éteintes) contrairement à des allumages via des interrupteurs classiques.
Le détecteur comporte donc deux bornes pour son alimentation électrique (L et N), et une troisième appelée
"retour de lampe" (L1), qui sera à relier aux appareils à commander. Lorsqu'une présence est détectée, un
contact interne relie la phase de l'alimentation (L) à cette troisième borne, la sortie (L1).

* L'appellation L1 peut prêter à confusion du fait que la lette L soit généralement réservée à la phase.


Ce L1 est justement fait pour rappeler qu'il s'agit bien d'une phase lorsque l'appareil ferme son contact
interne, et que donc il y a risque de court-circuit si un neutre y était raccordé.

Mise en garde

Il existe des détecteurs ne nécessitant pas la présence du neutre (2 fils), mais ces derniers posent des
problèmes avec la majorité des lampes à économie d’énergie tandis que les ampoules à incandescence se
verront très prochainement retirées du marché. Les ampoules fluocompactes posent en outre des problèmes
qui cette fois concerne tous les modes de commande « temporisés », ayant besoin d’une durée minimale de
fonctionnement pour  bien éclairer et voient leur durée de vie nettement compromise par des allumages courts
et à répétition.

SCHÉMA DE RACCORDEMENT D'UN DÉTECTEUR DE PRÉSENCE

Le contact interne à l’appareil est ici représenté entre les bornes L et L1, montrant que le détecteur agit comme
un interrupteur de type simple allumage. Dès qu’une présence est détectée, le contact se ferme pour une durée
donnée, permettant ainsi l’alimentation des lampes.

SCHÉMA DÉVELOPPÉ (DÉRIVATION)

Voici un exemple de raccordement pouvant vous aider au raccordement de vos


circuits d'éclairage. La répartition des fils s'effectue par bornes de type Wago ou
dominos généralement dans les boites de dérivation.

PLUSIEURS DÉTECTEURS POUR LE MÊME CIRCUIT


Il est possible d’associer plusieurs détecteurs de présence pour l’alimentation d’un même circuit. Il convient
simplement de relier (ponter) la phase, le neutre et le retour de lampe entre les différents détecteurs.
Le nombre de détecteurs est illimité, tandis que le nombre de lampes est limité à huit, quelque-soit le type de
commande utilisé (Cf. Normes et recommandations en matière d’éclairage).

POUR PLUS DE PUISSANCE …


Les contacts internes aux détecteurs de présence sont limités en pouvoir de coupure. En d'autres termes ils ne
sont pas conçus pour supporter de fortes puissances. La puissance maximum exprimée en Watts (W) admise
est indiquée sur les détecteurs, et si vos besoins sont plus importants il vous faudra alimenter les appareils par
le biais d'un relais appelé « contacteur de puissance ».
Le contacteur sert d'intermédiaire entre le détecteur et les appareils à alimenter. Il est constitué d'une bobine
électromagnétique et de contacts. Lorsque la bobine est alimentée (bornes A1 et A2), les contacts internes au
contacteur se ferment agissant à leur tour comme des interrupteurs par lesquels nous feront passer
l’alimentation de nos appareils.

Les contacteurs se déclinent en plusieurs gammes de tension et d’intensité, et types de contacts.

- Veillez à ce que le pouvoir de coupure (capacité à ouvrir un contact pour une intensité donnée) du contacteur
choisi convienne au calibre du disjoncteur et de fait à la puissance des appareils en aval.
- Les contacts utilisés ici sont de type NO (Normally Open), ouverts au repos. A l’inverse les contacts NC
(Normally Closed) sont fermés à l’état repos et s’ouvrent quand la bobine est alimentée. Certains contacteurs
peuvent associer contacts NO et contacts NC.
- La tension de la bobine du contacteur doit être ici conçue pour supporter du 230V alternatif. Il existe des
contacteurs pour toutes sortent de tensions en courant alternatif comme en courant continu.
- La tension des contacts à également sont importance car pouvant différer de la tension d’alimentation de la
bobine. S’assurer qu’ils supportent la tension d’utilisation concernée.
Comme le montre ce schéma, deux protections sont alors requises. Nous avons un disjoncteur pour protéger la
partie commande (détecteur + bobine du contacteur) et un autre pour la partie puissance (contacts de
puissance et appareils). Pour davantage de clarté de la partie commande et de la partie puissance ont été
dessinés de couleurs différentes. Dans la pratique ils auront la même colorie.
Nous pourrions tout aussi bien utiliser ce mode de câblage pour alimenter autre chose que des appareils
d’éclairage, auquel cas il faudra adapter pour la partie puissance le calibre du disjoncteur et la section des fils
utilisés.

ALIMENTER PLUSIEURS CIRCUITS D’ÉCLAIRAGE À PARTIR D’UN MÊME


DÉTECTEUR
La norme NF C 15-100 autorise  la non coupure du neutre pour des appareils d’éclairage (et éclairages
seulement !), comme c’est le cas avec des interrupteurs classiques, hors sur le schéma précédant nous avons
également fait passer le neutre par le contacteur de puissance.
Il nous est alors possible comme l’illustre le schéma suivant de n’y faire passer que notre phase, rendant le 1er
contact disponible pour l’alimentation d’un autre circuit.
Pour plus de commodité le deuxième circuit est différencié, cette fois par des pointillés.
Ce câblage ne s’applique encore une fois que pour le cas de deux circuits d’éclairage, la coupure du neutre
étant obligatoire dans tous les autres cas de figure !
La solution présentée ci-après montre comment alimenter des circuits de natures différentes (coupure du
neutre) avec un contacteur par circuit, mais il est tout aussi possible de remplacer le contacteur bipolaire (2
contacts) ci-dessus par un contacteur tétrapolaire (4 contacts), laissant ainsi deux contacts par circuits. Un
contacteur tripolaire donc 3 contacts permettrait en outre d’alimenter un circuit d’éclairage sans coupure du
neutre et un circuit autre avec coupure du neutre.

DÉTECTEUR ET CIRCUITS DE NATURES DIFFÉRENTES


Voyons maintenant comment utiliser une même commande, ici le détecteur, pour alimenter différents circuits
électriques. Les prises de courant sur le schéma qui suit symbolisent toutes sortes d’appareils pourvu que
section,  calibre du disjoncteur et que le pouvoir de coupure du contacteur associé soient adaptés.
Nous avons là un disjoncteur 2A pour la commande, un disjoncteur 10A pour les appareils d’éclairage et enfin
un 16A pour notre circuit prises. Imaginons qu’une prise desserve l’arrosage du jardin en cas d’intrusion d’un
animal ennemi (mieux vaudrait alors y associer une horloge et un interrupteur pour éviter certains
désagréments), etc. Ce que l’on veut du moment que vous ne tuiez rien ni personne avec votre système !
Si vous êtes arrivé jusqu’à cette petite dérision c’est déjà que vous êtes patient ou captivé par cet article …
merci.

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Pour toute question technique « personnelle » veuillez vous enregistrer sur le site puis de regagner le forum de
discussion pour ensuite y créer une nouvelle discussion.
Détecteurs de présence - Partie II
Le présent document fait suite à notre première publication sur les détecteurs de présence ou figurent les
schémas de raccordement de base.
Dans cette seconde partie nous allons inclure des commandes manuelles d’arrêt et/ou de marche forcée de
sorte à empêcher ou à l’inverse forcer l’alimentation des lampes.

Allumage par interrupteur crépusculaire


L'interrupteur crépusculaire permet la commande d'appareils électriques, des éclairages le plus souvent, en
fonction de la luminosité ambiante, le seuil de luminosité étant réglable.
Ils sont généralement de types modulaires (fixation sur rails DIN pour tableaux électriques), mais existent aussi
en boitiers de types micromodules pour être câblés en milieux restreints tels que boites de dérivation ou
boitiers de cloison sèche.

Ces schémas de raccordement viennent compléter notre article sur le sujet : Interrupteur crépusculaire,
choix et mise en oeuvre

RACCORDEMENT D'UN INTERRUPTEUR CRÉPUSCULAIRE SEUL


RACCORDEMENT D'UN INTERRUPTEUR CRÉPUSCULAIRE AVEC CONTACTEUR
Le contacteur de puissance permet l'alimentation d'un ou plusieurs appareils électriques avec une puissance
globale importante. Le pouvoir de coupure (exprimé en ampères) du contacteur sera par conséquent déterminé
en fonction des appareils alimentés.
Un montage avec contacteur permet également d'alimenter commande (inter crépusculaire) et puissance
(lampes) avec des tensions différentes (non représenté sur le schéma).
RACCORDEMENT D'UN INTERRUPTEUR CRÉPUSCULAIRE AVEC CONTACTEUR
ET HORLOGE

L'horloge programmable permettra de n'autoriser l'allumage des appareils seulement pour des jours et horaires
déterminées, par exemple du lundi au vendredi entre 7h30 et 19h00. Bien entendu ces appareils ne seront
également alimentés dans ces plages horaires qu'en cas de franchissement du seuil de luminosité préréglé.

INTERRUPTEUR CRÉPUSCULAIRE POUR BOITES DE DÉRIVATION ET


BOITIERS D'APPAREILLAGES

Il ne s'agit plus là d'interrupteurs modulaires (placés sur rails dans un tableau). Ceux-ci sont conçus pour être
disposés dans des boites de dérivation ou boitiers d'appareillages encastrés.
Il sera difficile de leur associer minuteries et contacteurs. Bien qu'existant également en format micromodules
pour boitiers, ces autres modules ajoutés à l'interrupteur n'auront plus rien de "micro", aussi ils seront bien
souvent réservés à des applications simples.

Pour ces raisons nous nous contenterons sur les schémas qui suivent de relier les interrupteurs crépusculaires
directement aux lampes desservies.

Ces types d'interrupteurs étant encore une fois destinés à des applications généralement plus simplistes, il est
fréquent de n'avoir qu'un report d'alimentation pour piloter les lampes ou autres appareils électriques. Le
contact interne à l'appareil est déjà relié à la phase servant d'alimentation.
Même schéma avec cette fois un contact sec pour l'alimentation des appareils.

CAS PARTICULIERS
Cette page ne présente que les cas les plus fréquents, aussi peut-être avez-vous un cas spécifique à votre
installation que vous ne savez résoudre. Leforum rubrique électricité pourra vous y aider. Il vous suffit ensuite
de lancer une nouvelle discussion pour y exposer votre problématique.
Simple allumage avec voyant lumineux
Pour le schéma d'un simple allumage sans voyant et obtenir des informations sur la réglementation en matière
d'éclairage, reportez-vous au schéma du simple allumage classique.

VOYANT PERMANENT OU TÉMOIN LUMINEUX ?


Les voyants peuvent être utilisés de différentes manières pour un même interrupteur.
On parle de voyant permanent lorsque l'on souhaite que le voyant reste allumé en permanence, afin de
localiser l'interrupteur dans l'obscurité.
Le témoin lumineux est quant à lui allumé quand les lampes désservies par l'interrupteur en question sont
elles-même allumées.

SCHÉMA DU SIMPLE ALLUMAGE À VOYANT PERMANENT


Ce 1er schéma est rarement mis en application du fait que les lieux nécessitant la localisation des interrupteurs
sont le plus souvent des lieux de passage, offrant donc plusieurs accès et par conséquents plusieurs points
d'allumage. Il s'agira alors le plus souvent de circuits va-et-vient, télérupteur ou encore parpermutateur.

Principe
utilisé pour
localiser
facilement
les
interrupteur
s situés
dans des
lieux
sombres
comme les
escaliers
ou
circulations
.

SCHÉMA DU SIMPLE ALLUMAGE À TÉMOIN LUMINEUX


Les interrupteurs à voyant classiques nécessitent l'ajout d'un fil de neutre. Cependant, certaines marques
proposent des systèmes à voyants sans neutre, et évitent ainsi l'ajout d'un fil supplémentaire. Dans ce cas de
figure il ne faut pas tenir compte du schéma qui suit et vous référer à la documentation de l'appareil.
Legrand par exemple propose des voyants enfichables. Il suffit alors de choisir la bonne référence de voyant
selon le mode de fonctionnement souhaité.

Le voyant est
allumé en
même temps
que les
luminaires
commandés
par
l'interrupteur,
utilisé
généralemen
t pour éviter
de laisser un
lieu éclairé
inutilement
(grenier,
placard,
sous-sol,..).

BAES - Bloc Autonome d'Eclairage de


Sécurité
Le BAES, appelé aussi BS pour "bloc de secours" ou encore "bloc de sécurité",
est un éclairage de sécurité visant à faciliter l'évacuation des bâtiments notamment
en cas d'incendie, ou plus simplement d'offrir un éclairage d'appoint dans les lieux
de passage (circulations, escaliers, hall, ..) en cas de coupure d'électricité de tout
ou partie de l'installation, et ainsi pouvoir se déplacer sans risquer d'accidents
corporels.

Schéma général, un seul circuit d'éclairage alimenté

Pour la maintenance des BAES, un dispositif de télécommande devra être installé,


permettant des commandes d'allumage et d'extinction à distance. Tous les BAES y seront reliés par le biais de
2 fils de télécommande (+ et -), généralement de couleur noir.
Lorsque des câbles sont utilisés plutôt que du fil sous gaine ICT, les BAES seront alimentés en 5G1,5.
Marron et Bleu pour l'alimentation, Noir (+) et Gris (-) pour la télécommande, le Vert/Jaune n'étant pas à
raccorder (appareils classe II).
Schéma général, plusieurs circuits d'éclairage alimentés

La télécommande sera la même pour tous les circuits d'éclairage nécessitant l'emploi de BAES
Exemple d'application (issu d'une discussion sur le forum)

Mise en place de BAES dans un escalier, dont l'éclairage fonctionne par télérupteur et boutons poussoirs.
Allumage par permutateur
Un permutateur est un interrupteur pour commande d'éclairage en voie de disparition mais toujours
commercialisé.
Il permet la mise en place de 3 points d'allumage ou plus. Le télérupteur, autre mode de commande d'éclairage
à points multiples est généralement préféré au permutateur.
Il est possible de mettre en place plusieurs permutateurs disposés en série entre les deux interrupteurs va et
vient, de manière à augmenter le nombre de point de commande :
Double allumage
Le double allumage fonctionne selon le même principe que le simple allumage,
mais il permet de commander deux points lumineux à partir d'un interrupteur
double.
Le schéma qui suit reprend le principe de deux simples allumages. A noter qu'il est
néanmoins possible de les raccorder indépendamment en va et vient.
  Schéma simplifié du double allumage
  Schéma développé du double allumage

  Le double va et vient

Schéma simplifié du double allumage :


Schéma dévellopé du double allumage :

La prise commandée
Schéma électrique de la prise commandée

La prise commandée telle que représentée sur ce schéma fonctionne selon le même
principe qu'une commande d'éclairage en "simple allumage", à la seule différence
que nous n'agissons pas directement sur une applique ou une lampe, mais sur une
prise de courant.
Il est également possible de commander une prise en montage va et vient, ou
autres méthodes employées pour de la commande d'éclairage, pourvu que son
usage reste de l'éclairage ...
Selon la norme (nfc 15-100), les prises de courant commandées sont considérées comme étant des points
d'éclairage fixes et seront de ce fait alimentées par les circuits d'éclairage de l'installation. Les prises
commandées ne doivent par conséquent servir qu'à alimenter des appareils d'éclairage.
Pour la commande d'appareils de puissance, comme l'extinction d'un téléviseur et autres appareils annexes,
préférez par exemple des appareils de type "coupe veille infrarouge".

Rappel des protections pour les circuits éclairage

- 10A par fusible ou disjoncteur (8 prises commandées maximum).


- 16A par disjoncteur uniquement (8 prises commandées maximum).

- Chaque prise commandée est comptée comme un point d’éclairage.

- Ne devront y être branchés que des appareils d'éclairage mobiles, tel que lampes de chevet, veilleuses, ... 

- Un interrupteur (comme ceux utilisés pour le schéma de va et vient, simple allumage, permutateur), peut
commander au maximum deux prises commandées, et à condition que ces prises soient dans la même pièce du
logement. 

- Pour commander plus de deux prises à la fois il faut utiliser le montage par télérupteur.

Vos questions sur le forum électricité domestique - réalisation et modification

schémas électriques

éclairage
Liens vers des schémas de raccordement simplifiés et dévellopés d'appareils d'éclairage.
simple allumage

normes générales éclairage, schémas simplifiés et développés avec simple inter ou va et vient

va et vient

principe du va et vient avec schémas de branchement, couleurs et protections

télérupteur

schémas télérupteur unipolaire et bipolaire

 
minuterie

schémas minuterie 3 et 4 fils pour marques Legrand, Schneider, Hager et Theben.

Principes de fonctionnement et schémas développés

détecteur de présence

détecteurs seuls ou associés, commande par l'intermédiaire d'un contacteur, ..

détecteur et interrupteurs

détecteurs associés à des interrupteurs ou boutons poussoirs


interrupteur crépusculaire

branchement interrupteur crépusculaire seul ou sur horloge programmable, sortie contact ou tension, avec contacteur
de puissance. 
Schémas simples et développés

simple allumage à voyant ou témoin

schéma du simple allumage à voyant permanent

localiser l'interrupteur dans les lieux sombres, ou indiquer que la lumière est allumée ...

bloc autonome
BAES

schémas Bloc Autonome d'Eclairage et de Sécurite (blocs de secours - BS) avec bloc de télécommande
permutateur

alternative au télérupteur

double allumage

raccordement de deux commandes d'éclairage différentes regroupées au sein d'un double interrupteur, avec protection
commune

prise commandée

schéma d'une prise commandée par un interrupteur, réservée aux appareils d'éclairage
voir aussi changer pc commandee en pc normale

D'autres schémas électriques gratuits sur entraidelec.com

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